mardi 18 août 2020

Rue Goya.

 La voila, avec son étiquette écrite en un latin retentissant, naïve coquette qui brise trois existences.



mercredi 10 juin 2020

Longtemps, je me suis couché de bonne heure : Comprenez bien ...

Longtemps, je me suis couché de bonne heure :
Comprenez bien qu'il lui fallait à tout moment des explications,
Un horizon que le mouvement de sa mystérieuse maladie éloignait sans cesse.




Détail :

vendredi 3 avril 2020

jeudi 12 mars 2020

mercredi 11 mars 2020

Soir paresseux des lacs,

Soir paresseux des lacs,
Fruits inconnus, armes étranges,
Une riche pénombre.



Hommage à Igor Mitoraj LXVII


Chroniques de Venise ...

Chroniques de Venise,
A la fois sensuelles et atroces,
Erigées en maximes méprisables.



Chroniques de Venise ...

Chroniques de Venise,
Ardentes, rêveuses, rieuses, sentimentales, folles.
Dernières tombes de l'innocence.


Chroniques de Venise ...

Chroniques de Venise,
Qui la disposent admirablement à tous les yeux,
Ces galériens du plaisir.


Chroniques de Venise ...

Chroniques de Venise,
Vous paraissait-il juste qu'elles se perpétuassent,
qu'elles y donnassent un semblant de verdure ?





vendredi 28 février 2020

jeudi 27 février 2020

lundi 10 février 2020

samedi 25 janvier 2020

Calmez-vous, je vous confesse que ces trente mille hommes


Calmez-vous, je vous confesse que ces trente mille hommes qu'il tire des ombres du pouvoir, couvée de fats et d'imbéciles, nourriture d'os et de cicatrices, laisseront l'étendard aux mains de la gouvernante.




mardi 7 janvier 2020

Rue Goya.

Satrape flamboyant des croyants et des incrédules, il se permettait les plus indécentes libertés.



Rue Goya.

Un vrai couloir d'hôtel ! dit la Marquise, je ne pars pas.

Et puis réservez vos yeux perçants pour vos bonnes amies, mon garçon, et retournez à votre horrible naufrage.